Page Blanche a refermé ses biblio-valises, les livres d’Ahmed Kalouaz sont rendus à leurs parrains.

Voici quelques notes de lecteurs anonymes trouvées dans les livres :

De la Bretagne, du désert, du monde, des hommes. Des beaux mots qui font s’entrecroiser des civilisations et surgir des éclairs d’amour. (Trois verres de Thé)

Une belle histoire d’amitié entre une petite fille, un vieil homme et un cheval. (Au galop sur les vagues)

Suite à la lecture d’extraits de ce livre à la caravane, nous avons trouvé ce livre que j’avais déjà lu dans une valise et mon fils de 23 ans l’a lu. Son opinion : très bien écrit, cerne bien les problèmes liés à l’immigration. (Avec tes mains)

Nos compatriotes qui imaginent que les immigrés ont « la belle vie » devraient lire c e livre. Ils ont été envoyés en premières lignes pendant les guerres pour nous défendre. Pour la reconstruction du pays, on s’est servi d’eux dans des conditions « inhumaines » et maintenant on les rejette. C’est une « honte » (Avec tes mains)

Beaucoup pensé à votre père c e19 mars 2012, car j’ai connu à Alger au printemps 1962, le fils de Mouloud Ferraoun qui était dans ma classe en première au lycée Gautier, à la date où l’OAS l’a exécuté à la « cité du bonheur » sur les hauteurs d’Alger. Amitiés sincères. (Avec tes mains)

Vocabulaire riche, se lit agréablement. (Fugue Bretonne)

Il y a des embruns… c’est ce qu’on dit quand nos larmes roulent sur nos joues…avec pudeur. « Tiens ! Il pleut », on dit ça, aussi. (Fugue bretonne)

Je fais mien le titre du livre. En mon cœur un petit frère jumeau révolté face à la violence et souvent à l’horreur du monde. (Géronimo)

Je n’ai pas accroché… (Géronimo)

Il écrit les mots de tout le monde, comme personne. Il y a eu il y a quelques jours l’ouverture de la pêche…Dans ce grand lac d’émotion, il m’st doux d’avoir « recueilli »(pêché !) cette « part de l’ange » à ton nom. Bisous. (La part de l’ange)

Les dures réalités du port. Ses désenchantements…les rêves envolés. Et cette guerre d’Algérie… boxer pour l’argent, pour sortir de la misère et finalement gagner peu, à part des coups et finir par tout perdre : la vue, la vie. J’ai aimé cette manière de dénoncer la violence, les violences. (Le vol du papillon)

A voir, à entendre, plus qu’à lire ! (Tu connais New-York)

De belles métaphores (Tu connais New-York)

Tendre, doux, suave, comme une promenade en dirigeable, hors du temps. Un beau récit, l’histoire de ceux qui ont osé, d’une femme qui n’a pas flanché. D’un breton venu d’ailleurs. J’ai aimé. (Une étoile aux cheveux noirs)

Merci, merci. Lecture très agréable, auteur très attachant. (Une étoile aux cheveux noirs)

Emouvant. Ma maman est née en 1927. Mémoire défaillante mais si gentille. Merci. (Une étoile aux cheveux noirs)

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