Tout fait ventre et piste et signe , le monde est inépuisable. Un chien, un chien peut suffire, suffit, surtout un chien qui s’appelle Oscar. Un chien s’est appelé Oscar dans ma vie, comme dans de très nombreuses vies ; un Oscar fait forcément motif et récit ; le récit prolifère dans le sillage d’un Oscar. Cet Oscar apparaît en très grand format, je le vois placardé dans les couloirs du métro parisien et sur les bus le mardi 24 juin 2014. C’est un chien noir et blanc, l’œil petit, vif et brun, le pelage (...)