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dimanche 14 décembre 2014, par Webmestre

Instructions pour se coiffer :Retour ligne automatique
L’action de se coiffer consiste à mettre sa chevelure en forme, en place, dans un but esthétique. Retour ligne automatique
Elle se fait à l’aide d’instruments de différentes formes et matières étudiés pour faciliter le travail, selon la longueur des cheveux, leur consistance, mous, secs, cassants, frisés ou plats... Retour ligne automatique
On utilise un peigne, objet avec des dents plus ou moins fines, pour passer la chevelure au travers, en démarrant à la racine du cuir chevelu et en longeant la poignée de cheveux jusqu’à leur extrémité appelée pointes. Renouveler l’opération de sorte que toute la chevelure passe « au peigne fin ». Lorsque le peigne rencontre une résistance, il s’agit généralement d’un nœud dans les cheveux, il faut ralentir le geste et si besoin diminuer l’épaisseur de la poignée en cours de traitement. Il est nécessaire de se montrer patient, au risque sinon de casser les cheveux et aussi de se faire mal. Retour ligne automatique
On se sert aussi d’une brosse à cheveux, son action est quasi identique, le mouvement se faisant également de la racine aux pointes. On parle de « donner un coup de brosse » quand on souhaite rafraîchir l’aspect de sa tignasse, lorsque celle-ci est ébouriffée par exemple, le coup de brosse lisse, aère, fait briller la chevelure qui paraît alors plus légère. Retour ligne automatique
Ne pas oublier après usage d’ôter les cheveux qui s’accumulent sur le peigne et la brosse avant de les ranger.

Catherine.

Instructions pour nettoyer ses lunettesRetour ligne automatique
Pour nettoyer ses lunettes, il faut tout d’abord en éprouver la nécessité ou bien encore décider par exemple que l’on commencera par ça le matin car on nettoie rarement ses lunettes avant d’éteindre la lumière.

Donc, trouver dans un premier temps un chiffon adapté. Pour se faire, renverser carrément le contenu de son sac si l’on est vraiment pressée, ce qui évitera la perte de temps incontournable du tâtonnement aveugle. Ou bien encore, mais ça c’est pour plus tard, acheter le sac qui va bien.

Le cas échéant, après constatation que ledit chiffon ne s’y trouve pas, se rabattre sur un morceau de drap en attendant mieux.

Bon dans le cas où vous trouver le chiffon, le sortir de son étui en plastique, le déplier, saisir les lunettes qui ne sont jamais bien loin du lit, pour tout cela bien évidemment il faut s’être assis au bord du lit, c’est préférable.

Saisir enfin la paire de lunettes qui s’impatiente, en déplier les branches qui sont des sortes de baguettes recourbées à leur extrémité et qui permettent de stabiliser les lunettes de chaque côté de votre crâne en les accrochant derrière vos oreilles.

Prendre délicatement les lunettes dans la main qui ne tiendra pas le chiffon. Prendre le chiffon de l’autre main. Exposer les lunettes à une source de lumière, fenêtre où autre, afin de déterminer quelles sont les zones où il faudra particulièrement oeuvrer.

Saisir un verre après l’autre, en sandwich entre deux pans de chiffons et faire glisser ses doigts contre les parois au travers du chiffon, bien évidemment, de manière à peu près circulaire.Retour ligne automatique
Suivre les conseils de votre opticien, à savoir : ne tenir que le verre pour ne pas déformer la monture des lunettes. Donc, bien faire attention avec l’autre main à ce que les lunettes ne vous échappent pas.

L’opération effectuée, on vérifie à nouveau la transparence des verres au travers d’une source de lumière, on effectue les quelques retouches nécessaires, on revérifie et si le résultat s’avère probant, on chausse lesdites lunettes.

Ne pas omettre de replier le chiffon de manière à ce qu’il rentre facilement dans son étui, pour se faire procéder comme votre grand-mère quand elle repassait les mouchoirs en tissu :Retour ligne automatique
prendre le tissu par les angles opposés, rabattre le premier tiers sur lui même, puis faire la même chose avec la partie restante en rabattant cette fois-ci dans l’autre sens, vers le haut ou vers le bas, c’est selon puis plier le chiffon en deux parties égales en rabattant la moitié des trois épaisseurs vers la droite ou la gauche. Ainsi votre chiffon devrait rentrer sans trop de problèmes dans le petit étui. Retour ligne automatique
Replacer, toutes vos affaires dans votre sac à main sans oublier le petit étui à chiffon.Retour ligne automatique
Voilà, c’est fait.Retour ligne automatique
Françoise

Instructions pour mettre en route l’aspirateurRetour ligne automatique
Sortir l’aspirateur du placard en enfilant la main ( droite ou gauche selon vos préférences ) dans la poignée noire en creux prévue à cet effet de façon à le tenir solidement et le poser ensuite délicatement à plat sur le sol.

On s’aperçoit alors qu’il se compose de deux parties : une que nous appelerons le tuyau et l’autre que nous appelerons le corps de l’appareil.

C’est le corps de l’appareil qui retiendra toute notre attention lors de la mise en route.

Sur le dessus du capot, à gauche ou à droite selon le sens dont on regarde l’appareil, repérer le dessin de mise en route matérialisé par un I.

Exercer une légère pression sur ce bouton, l’appareil doit se mettre en marche.

Si rien ne se passe, soit appeler le service après vente dont le numéro se trouve au dessous de l’appareil ou vérifier que vous n’avez pas oublié de tirer le cordon électrique se trouvant à la base dudit appareil afin de le brancher à une prise de courant.Retour ligne automatique
Josiane

Instructions pour éplucher une carotte des sables.Retour ligne automatique
La carotte est un légume long, conique, de couleur orangée, entrant dans la compositions des potages si on le souhaite . On peut aussi la manger crue, lamellisée, ou râpée, assaisonnée de vinaigrette. Retour ligne automatique
Puisqu’elle est de sable, un rinçage s’impose qui la débarrasse de ses granules. On passe alors à l’ épluchage. Retour ligne automatique
Se munir de deux ustensiles de cuisine : Retour ligne automatique
un couteau pointu, bien aiguisé qu’on appellera n°1Retour ligne automatique
et Retour ligne automatique
un couteau économe qu’on appellera n°2.Retour ligne automatique
Les deux ne se ressemblant en rien, peuvent laisser perplexe.Retour ligne automatique
Prendre d’abord le n°1 dans la main droite ou gauche, c’est selon.Retour ligne automatique
Maintenir le légume de l’autre main sur la planche à découper.Retour ligne automatique
Trancher sa partie la plus renflée encore un peu verte et qui porte les fanes. Retourner le légume.Retour ligne automatique
Trancher le fil du bout qui rappelle la racine.Retour ligne automatique
Changer d’ustensile.Retour ligne automatique
Prendre le couteau économe dans la main droite ou gauche c’est toujours selon et la carotte dans la main droite ou gauche renflement vers le poignet.Retour ligne automatique
Le couteau économe glisse en toute légèreté de la partie la plus fine du légume bers la partie la plus grosse soulevant ainsi de fines lamelles de peau presque transparentes.Retour ligne automatique
Recommencer l’opération en faisant tourner la carotte dans votre main jusqu’à l’épluchage total.Retour ligne automatique
Apparaît alors la chair du légume brillante et fort orangée prête à être consommée.Retour ligne automatique
Jacqueline M.

Instructions pour nettoyer ses lunettesRetour ligne automatique
Une paire de lunettes est constituée d’une monture en métal ou en plastique sur laquelle sont fixés des verres, elle prend appui sur le nez, deux branches posées sur les oreilles en assurent la stabilité.Retour ligne automatique
Les lunettes sont des instruments de vue nécessaire, il est donc essentiel de les entretenir avec soin. Le nettoyage se fait avec un petit chiffon doux, peau de chamois ou tissu microfibre, le plus souvent offert lors de l’achat des lunettes.Retour ligne automatique
Lors du nettoyage, la monture placée devant soi est maintenue fermement entre les deux verres par le pouce et l’index d’une main, tandis que dans l’autre main le petit chiffon va et vient délicatement sur chaque surface des deux verres, en cas de tâches réfractaires, on peut souffler doucement sur un verre afin qu’une légère buée s’y dépose et sans attendre Passer de plus belle le chiffon.Retour ligne automatique
L’opération est concluante lorsque chaque verre est parfaitement propre, il est conseillé de ranger soigneusement le petit chiffon dans le boîtier des lunettes, on peut alors chevaucher sa monture.Retour ligne automatique
Roselyne

Instructions pour la mise en marche d’un lave linge automatique.Retour ligne automatique
Echapper aux longues et fastidieuses procédures d’immersion du linge dans des cuves d’eau additionné de lessive, puis aux multiples rinçages à l’eau claire, aux essorages à la palette, comme l’a si bien montré jadis l’héroïque Mère Denis pour la promotion des défunts laves-linges de la marque vedette, tel est le miracle des laves-linges automatiques. Dans les publicités télévisuelles auxquelles des générations de bambins, puis d’adultes auraient pu difficilement échapper, les ménagères qui tournent le bouton semblent toujours heureuses, épanouies, tout est si facile, et le linge au final est si blanc, si doux, si odorant. Pourtant le béotien qui a quitté sa mère, ou son épouse, confronté la première fois à la panière de linge sale, et à la dite machine, ne retrouve pas nécessairement, la même aisance ni la même satisfaction à utiliser le dispositif.

Tout d’abord vous seriez bien avisé de trier le linge sale, selon les couleurs claires ou foncées et selon la matière, s’il s’agit d’un textile synthétique, regardez l’étiquette c’est encore plus simple. Si c’est de la laine, cela n’a probablement rien à faire dans ce lavage là et, si ce sont des draps en cotons, préférez un lavage à 60° pour se débarrasser des acariens. Mais les avis peuvent diverger. Vous pouvez toujours consulter les forums ménagers sur internet.

Apporter son ballot de linge sale à proximité du cube blanc métallique, se rapprocher de ce hublot transparent dans lequel le linge peut être chargé. S’il n’y a pas de hublot transparent, c’est que probablement, le linge se charge par dessus par une trappe. Enfourner le ballot, en le dépliant, (le linge doit être brassé) dans le cylindre métallique, puis refermer le hublot jusqu’à entendre un clic. Au dessus deux trappes tiroirs permettent d’ajouter l’agent nettoyant contenu le plus souvent dans un baril, dit « lessive », plus sophistiquées que les cendres de bois des ancêtres. Le nom de la lessive que vous achetez fait suite à long dressage publicitaire. Longtemps, il vous sera vanté les propriétés meilleures d’une marque que les autres et vous pourrez vous en souvenir longtemps « une propreté comme celle d’Ariel, ce ne s’échange pas... » En réalité, il n’y aurait pas de grandes différences entre chacune d’entre elles. Ajouter dans l’autre tiroir un agent dit adoucissant, le plus souvent bleuâtre d’une odeur qui peut vaguement évoquer l’odeur de la consensuelle lavande. Certaines ménagères savantes ajouteront à la place du vinaigre d’alcool. D’autres ajouteront en plus des pastilles anti-calcaires au diverses propriétés dites susceptibles de « laver l’eau »...Mais cela dépend, de l’eau de la dureté, de son pH, cela peut rendre le linge encore plus rêche. L’apprenti ménager sera bien avisé de consulter les forums internet et mieux encore de consulter les dossiers de la revue soixante millions de consommateurs pour avoir des avis plus tranchés, ou des évaluations plus précises sur sa machine.

Reste à sélectionner le programme, de 90°c, eau quasi bouillante pour le coton blanc très sale, option souvent choisies par la ménagère à caractère obsessionnel, en quête de pureté, en lutte contre les microbes, et surtout les tâches, cet obscur oeil qui la regarde du fond des pantalons, où à 40°c, moins chaud, moins cher, plus écologique, programme basse température qui suffit le plus souvent et en particulier le linge synthétique dont les fibres se déforment irrémédiablement à la chaleur. Mais avec moins d’agitation moléculaire, cela peut laver moins bien, et l’on apprend que toutes machines ne respectent pas les températures qui sont assignées sur le programme. Et puis, cela dépend aussi de la quantité de linge qui en enfournée, plus il y en a et moins çà lave. Une corvée mais qui requiert néanmoins des expériences, un savoir faire expérimental et tacite.

Tourner le bouton du programmateur dans le sens des aiguilles d’une montre , ce qui laisse ressentir le sursaut du crantage dans la mécanique derrière, cela rappelle un peu les mécaniques des vieilles montres de grand-mère, et s’arrêter précisément pile sur le programme désiré. Peu à près un voyant rouge s’allume, le cube métallique blanc, se met à gargouiller, sursauter, bruit de tuyaux, d’air qui s’échappe, puis un lent psch....itt qui pourrait faire songer à une fuite de gaz. Dans le même temps le cylindre se met lentement à tourner, dans un bruit de gongs de portillon métallique mal graissé associé à un bruit de moteur électrique. Par le hublot, le linge sale est peu à peu immergé, le passager d’un navire aurait de quoi s’inquiéter face à une telle configuration, mais pas pour la ménagère qui sait désormais qu’en principe elle n’y aura plus qu’à revenir dans 45 minutes environ pour étendre le linge au sèche linge. Conserver les premières fois, à la fois, un oeil attentif aux fuites d’eau, c’est fou ce que les arrivées d’eau sont souvent mal fixées, pas de joints, et le rappel se termine alors par la sonnerie des voisins du dessous hystériques ; et à la phase d’essorage, ce moment ou la machine se met à vibrer, tressauter sur elle-même, ce moment là ou souvent ce qui a été posé négligemment se met à tomber. Retour ligne automatique
Franck

Instructions pour sortir du lit.Retour ligne automatique
Il y a deux manières de sortir du lit.Retour ligne automatique
Nous allons nous préoccuper tout d’abord de la première manière dite « douce ». C’est celle qui intervient après le réveil naturel d’une personne, lorsque le rai du soleil caresse le visage ou le chant des oiseaux titille les oreilles. Les yeux s’ouvrent doucement et l’esprit intègre petit à petit qu’il n’est plus endormi, la position allongée résiste encore , quelques mouvements du corps s’accompagnent parfois de bâillements. Les membres inférieurs pliés jusqu’alors se détendent et les membres supérieurs s’écartent en croix. Le corps devient souple et l’esprit vif. À ce moment, la personne se découvre de son drap, frissonne un instant, elle s’assoit dans le lit, remonte les genoux sous le menton et se frotte les yeux à l’aide de ses mains tièdes. Elle va sortir du lit mais profite encore de ses quelques instants de quiétude. Elle pense au jour qu’il est et de son emploi du temps, puis d’un mouvement sec, elle pivote sur la gauche et sent ses pieds nus sur le sol un peu frais. Un nouveau bâillement la saisit et hop, son corps est debout prêt à démarrer. Maintenant le corps marche, contourne le lit et s’approche de la fenêtre. Le regard scrute un instant le dehors, une dernière enjambée vers la porte permet à la personne de quitter enfin sa nuit.

Prochainement, la deuxième manière !!!!Retour ligne automatique
Laurence

Instructions pour...Retour ligne automatique
se lever (du lit)

L’homme (et la femme) sont souvent obligés de se lever.Retour ligne automatique
Le fait de se lever est assimilé au passage d’une position A à une position B.Retour ligne automatique
Ainsi on peut être amené à se lever pour passer d’une position allongée à une position debout ou d’une position assis à une position debout.Retour ligne automatique
Se lever à partir d’une position couchée se fera en deux étapes, sauf très bonne condition physique ou utilisation d’un trampoline. Ces deux étapes seront de passer de position couchée à position assise puis de position assise à position debout.Retour ligne automatique
Dans certains cas (abus de boissons alcoolisées ou Knock Out), la situation intermédiaire entre « couché » et « debout » ne sera pas « assis » mais « accroupi ».Retour ligne automatique
Les instructions qui suivent concernent le processus « couché-assis-debout pour sortir du lit » après une bonne (ou mauvaise) nuit de sommeil.

Tout d’abord, il y a la phase de réveil : elle se concrétise par une modification du rythme respiratoire et la prise de conscience de l’environnement au moyen des cinq sens : Retour ligne automatique
• Toucher : sur quoi suis-je étendu ? Comment suis-je étendu (dos-ventre-côté) ?Retour ligne automatique
• Ouïe : entends-je les oiseaux, les bruits de la circulation ou d’autres activités humaines ?Retour ligne automatique
• Odorat : est-ce l’odeur du café et de tartines grillées que je sens ?Retour ligne automatique
• Vue : voir instructions pour lever les paupières ;Retour ligne automatique
• Goût : j’aurais dû me laver les dents avant de dormir.

Une fois la phase de réveil achevée, le cerveau prend les commandes et ordonne des actions. Celles-ci seront ou non exécutées instantanément, selon le degré de réveil et, surtout, l’état physique du sujet.Retour ligne automatique
Après avoir pris connaissance (double sens ?) de la position initiale du corps, le cerveau va analyser les différentes actions à réaliser pour passer de la position initiale à la position souhaitée.

Premier temps – il faudra passer de couché sur le dos ou sur le ventre ou sur le mauvais côté à couché sur le bon côté (les termes bon et mauvais ne sont pas, ici, à prendre au sens moral mais au sens pratique). Le bon côté est celui permettant de sortir du lit, c’est-à-dire généralement le côté le plus proche. Pour réaliser cette opération que nous nommerons « rouler sur le côté », seront mis en œuvre de nombreux muscles, connus ou non : abdominaux, biceps, triceps, muscles jumeaux, quadriceps, couturer, adducteurs, etc.Retour ligne automatique
Deuxième temps – une fois sur le bon côté, au bord du lit, il faudra faire basculer les jambes et pieds dans le vide, hors du lit. En utilisant le principe dit « du culbuto » et la force gravitationnelle liée à la chute vers le sol des membres inférieurs, le buste se lèvera sans difficulté (et mal de dos) et la position assise sera atteinte. À ce stade, le plus difficile est réalisé.Retour ligne automatique
Troisième temps – il ne reste plus qu’à poser les pieds au sol et à déplier le corps en penchant légèrement le buste en avant et en actionnant les muscles des jambes et les abdominaux.

Ça y est : la position debout est atteinte.

Marc